Résumé
Obéir et ne jamais poser
de questions…
Quand Hazel obtient
un stage d’assistante juridique à Brevitz&Co, elle ne se fait pas
d’illusions : elle va sûrement être préposée aux cafés.
Pourtant, ses
certitudes s’évaporent lorsqu’elle rencontre Cole Parker, l’avocat brillant
mais peu conventionnel pour qui elle va travailler… sur le plus gros dossier du
cabinet ! Et le plus brûlant…
S’ils gagnent ce
procès, ils pourront redorer la réputation entachée de Brevitz&Co. S’ils
perdent… ils perdent tout.
L’enjeu est de
taille, et la jeune femme sait qu’elle n’a pas le droit à l’erreur. Alors,
craquer pour son boss au regard glacial, qui lui envoie des signaux
contradictoires : très mauvaise idée !
Mais comment
résister quand la salle de la photocopieuse, l’ascenseur ou le bureau de Cole
incitent à autant de dangereuses tentations ?
Date de sortie : 18
mars 2020
Auteur : Zoé Murat
Maison d’édition :
Éditions Addictives
Nombre de pages :
302 pages
Note : 6/10
Mon avis
Hazel
est une jeune femme qui n’a qu’un objectif en tête : devenir avocate à New
York. Elle est la meilleure de sa promo mais il lui manque quelque chose d’essentiel
dans ce milieu : les relations. Elle ne connait personne pour l’aider à
entrer dans un cabinet réputé pour son stage qui validera son diplôme.
Après
un nombre de cv envoyés impressionnant, elle obtient enfin le sésame qui lui
permettra de valider son cursus. Elle devient l’assistante dans le cabinet
Brevitz & Co, alors qu’il vient juste de perdre un procès très médiatisé.
Jamais
elle n’aurait cru travailler sur ce dossier brûlant avec cet avocat qui fait
tourner toutes les têtes sur son passage.
Zoé
Murat raconte une histoire entre un patron et son assistante comme on a déjà pu
le voir dans de nombreuses romances. J’espérais trouver le petit quelque chose
qui ferait la différence mais je suis malheureusement passée à côté.
Hazel
est un personnage qui m’a étonnée. Au début, elle semble vraiment peu sûre d’elle,
timide et préfère s’investir dans sa vie professionnelle plutôt que personnelle.
Elle est déterminée à réussir et met toutes les chances de son côté.
Pourtant,
dès son premier jour de travail, elle succombe totalement aux charmes
dévastateurs de Cole, ce qui pourrait lui coûter son stage et ainsi son avenir
dans ce domaine.
Cole
Parker est l’avocat en charge de redorer l’image du cabinet avec un procès
sensible. Il est réputé dans ce milieu et compte bien gagner. Déterminé et
brillant, il sait qu’il y arrivera… enfin jusqu’à ce que Hazel devienne son
assistante.
Il
est un personnage qui souffle le chaud et le froid comme personne. Lorsqu’il
donne des ordres, il ne s’attend pas à ce qu’ils soient discutés. Odieux par
moment, il peut être aussi charmeur et même si c’est son métier, il ne se rend
pas toujours compte du mal que peuvent quelques mots.
Je
n’ai pas réussi à m’identifier aux personnages, même un peu. Je pense que les
changements de comportement ont été trop rapides pour Hazel. Et même si j’ai
mieux compris ceux de Cole, je pense qu’il aurait mérité un peu plus d’approfondissement,
sur son passé, ses sentiments, ses peurs et ses désirs.
Pour
ce qui est de la trame de cette romance, Zoé Murat a choisi un thème (patron/assistante)
qui est malheureusement très utilisé dans ce monde livresque. J’aurai aimé que
l’histoire de fond, le procès, le cabinet et l’intrigue qui s’y rapporte, soit
plus développée, mise un peu plus en avant peut-être car j’ai eu l’impression
qu’elle était un peu trop survolée pour mettre en avant une passion interdite
alors qu’à mon avis les deux se seraient mutuellement enrichies.
Malgré
des personnages qui ne m’ont pas émue et une histoire qui, pour moi, manque un
peu de profondeur, j’ai été agréablement surprise par la plume de l’auteur. Je me
suis laissée entraînée par ses mots légers et la fluidité de ses phrases.
Je
pense que vous l’aurez compris, je suis passée à côté de cette histoire mais ce
roman se lit très facilement et je ne peux que vous recommander d’aller vous
faire votre propre opinion en ouvrant ces pages.
Merci
aux Éditions Addictives pour ce service presse.
#Nolwenn
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