- 176 pages -
- Editions : Book on Demand -
- Note : 7/10 -
Résumé :
Les
habitants de Phoenix, Arizona, sont proches de la paranoïa, depuis
la série de meurtres qui sévit dans la région. Tous les meurtres
ont lieu sur des routes isolées, en pleine forêt. Le tueur agit
uniquement de nuit. Il s'en prend à des touristes et des gens de
passage appartenant à la
gent féminine...
Dans Troubles Vol. 2, l'auteur nous dévoile cinq histoires, tirées de ses premiers écrits, aux frontières du roman noir et du fantastique.
gent féminine...
Dans Troubles Vol. 2, l'auteur nous dévoile cinq histoires, tirées de ses premiers écrits, aux frontières du roman noir et du fantastique.
Mon Avis :
J'ai
été ravie de retrouver la plume de cet auteur pour un volume 2.
Les
histoires sont du même acabit, mais très différentes. Aucune ne se
ressemble, il n'y a aucune répétition.
Les
personnages restent dans la même veine à chaque fois, mais là
encore, bien que similaires, ils n'ont aucune ressemblance.
On se
retrouve dans un univers noir, entre policier, fantastique...
On se plaît à tourner les pages.
L'auteur joue avec notre esprit, nous
tient en haleine et nous surprend jusqu'à la dernière page.
J'ai
beaucoup aimé l'histoire Dernier Round, et un peu déçue par
Rendez-vous avec la mort.
Le
style reste néanmoins inimitable, un mélange de série télévisée
et de théâtre.
Quand d'autres se perdent dans des pages de
descriptions, ici la simplicité fait loi.
En une phrase, en un mot,
le décor est posé, l'ambiance installée.
L'auteur
nous emmène dans son univers un peu décalé, parfois insolite, où
un tueur peut s'en sortir, laissant les policiers sur les dents, où
les victimes parfois n'en sont pas.
Des
histoires qui vous portent, un peu comme celles de Pierre Bellemare.
L'auteur a trouvé sa narration, sa voie.
Comme je le disais plus
haut, c'est comme être en face de sa télé, en face d'une série.
Une
jolie série en plusieurs tomes qui peut plaire au plus grand nombre,
personnellement, je suis déjà conquise.
Merci à Books on Demand pour ce service presse.
#Laëtitia
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire